Différentes formes de commerce permettent d’ouvrir un restaurant. Tout en conservant un maximum de liberté, il est parfois agréable de faire partie d’un réseau, notamment pour attirer une clientèle plus large, mais également pour bénéficier de la force d’un groupe. Pour celles et ceux épris d’indépendance et de liberté, quel est le meilleur statut pour ouvrir son restaurant ?
Les différents types de commerce
Lors de l’ouverture d’un commerce, il est possible de choisir parmi différents formats parmi lesquels : le commerce indépendant, le commerce associé ou le commerce intégré. Ces différentes formes de commerce disposent toutes de leurs avantages et de leurs inconvénients. Une chose est sûre, le degré d’indépendance de l’entrepreneur varie selon la formule choisie.
L’entrepreneur peut être complètement isolé en agissant seul ou s’intégrer à un réseau national qui lui apportera sa force. Des solutions intermédiaires comme le groupement associatif ou la franchise existent également.
Le commerce indépendant : définition
L’une des solutions est de choisir de s’installer comme commerce indépendant. L’entrepreneur n’est juridiquement relié à aucune enseigne ou autre commerce. Il agit seul sous une forme juridique indépendante.
Un commerce indépendant peut être isolé ou organisé. Dans le premier cas, l’entrepreneur dispose de sa propre enseigne. Dans le deuxième cas, l’entrepreneur fait partie d’un commerce associé ou d’une association. Il peut également intégrer le réseau d’une franchise.
Le commerce associé : définition
Chaque entrepreneur reste juridiquement indépendant, il appartient toutefois à un groupe. L’objectif est de créer un réseau plus fort sur le plan économique.
Un commerce associé permet ainsi de mettre en place une communication commune aux différents restaurants. Il permet également aux différents établissements de se regrouper pour réaliser des partenariats et des achats auprès des producteurs et autres fournisseurs.
Au sein d’un commerce associé, les différents entrepreneurs peuvent également partager les bonnes pratiques ainsi que leur savoir-faire. Au besoin, des systèmes communs, de logistique, par exemple, peuvent être mis en place.
Chaque entrepreneur d’un commerce associé participe à la prise de décision. Ce système est coopératif.
Le commerce intégré : définition
Autre possibilité pour l’entrepreneur en quête d’ouverture d’un commerce : le réseau intégré. Plusieurs points de vente sont reliés à une enseigne sous la forme de filiale ou de succursale. Ces établissements dépendent directement de la maison mère, où les décisions sont prises.
La franchise : définition
Dans une franchise, la tête du réseau prend les décisions et impose ses volontés aux entrepreneurs. Contrairement au commerce associé, ces derniers ne participent pas à l’ensemble des prises de décision.
L’entrepreneur est un franchisé et il signe un contrat avec le franchiseur : l’entreprise qui a développé le concept et lui donne le droit de l’exploiter. Dans une franchise, l’entrepreneur perd de nombreuses libertés, mais il utilise une marque qui fonctionne et applique son savoir-faire sans avoir à créer une identité pour son propre restaurant, etc.
L’organisation de la franchise est plus autoritaire que celle du commerce associé. L’entrepreneur doit généralement verser un droit d’entrée afin de bénéficier des avantages de la franchise.
Choisir l’interdépendance
En optant pour le principe du commerce associé, Les Taverniers Réunis ont choisi l’interdépendance pour développer leur concept. Il ne s’agit pas d’une franchise et chaque entrepreneur a son mot à dire quant aux décisions prises.
Les Taverniers Réunis fonctionnent sur le principe efficace du collectif, tout en offrant une véritable indépendance à chacun des membres du groupement. En effet, l’association de différents entrepreneurs permet de mettre en commun certains outils et de développer certaines actions à plus grande envergure.
La pérennité de chacun des restaurants des Taverniers Réunis est renforcée par l’association de différents entrepreneurs sur le plan national, partageant les mêmes valeurs et la même passion pour une cuisine authentiques et vraie, copieuse et gourmande, faite à partir de produits du terroir.
Chaque exploitant conserve une parfaite autonomie pour l’exploitation de son point de vente sans pour autant se retrouver complètement isolé.
Des services complets et variés
La palette de services à disposition des entrepreneurs est large est variée. Elle leur offre un accompagnement complet dès l’ouverture de leur nouveau point de restauration et tout au long de la vie de leur restaurant.
De la négociation auprès des fournisseurs, en passant par des outils de gestion commun et des propositions de décoration intérieure, les services accessibles aux entrepreneurs leur permettent d’appartenir à un collectif tout en gardant une grande souplesse dans la création de leur restaurant. Ce ne sont d’ailleurs par les membres qui appartiennent à un réseau, mais le réseau qui appartient à ses membres.
Chaque associé du groupement est en effet à la fois acteur et décideur. Ce positionnement permet de trouver des réponses aux plus proches des besoins. Chacun étant habitué à être sur le terrain, en salle ou en cuisine, les problèmes ou difficultés rencontrées sont plus aisément remontés.
Contrairement à une franchise, aucune décision n’est imposée par des acteurs externes. Chacun peut débattre, apporter ses arguments, son retour d’expérience, etc. Pour se sentir à sa place au sein d’un commerce associé, il est important d’être prêt à coopérer avec d’autres indépendants. Il est tout aussi important d’avoir la force d’être indépendant et d’avoir de nombreuses libertés. En effet, avoir de la liberté dans son entreprise vous emmènera à prendre plus de décisions que si vous étiez dans une franchise et que votre champ d’action était relativement restreint.
Si vous souhaitez ouvrir votre restaurant La Taverne et rejoindre le groupement des Taverniers Réunis, n’hésitez pas à nous contacter dès maintenant.