Esthétisme d’un restaurant

Au travers de ses plats gourmands, mais aussi de son architecture et de son esthétisme, un restaurant transmet son image aussi bien par la propreté des lieux, la qualité de sa cuisine, le choix des produits, le sourire de son équipe que de la décoration et l’agencement de ses salles. La Taverne se positionne comme l’héritière d’une longue tradition française où le bien manger et le bon vivre son synonyme d’hospitalité et d’authenticité.

Nous vous invitons à découvrir pourquoi l’esthétisme de La Taverne joue un rôle important dans la fondation de ce concept de restauration.

Créer l’identité visuelle de son restaurant

Connus depuis 1996 sous le nom de marque Les Relais d’Alsace, les restaurants de La Taverne appartiennent aujourd’hui à des restaurateurs indépendants ayant développé un véritable réseau en France. Ce modèle coopératif partage des valeurs indispensables à la création d’une identité commune tout en laissant de grandes libertés à chaque restaurateur.

La cohérence de l’esthétisme entre les différents restaurants La Taverne présents en France permet à la clientèle d’identifier clairement l’enseigne et sa volonté d’une ambiance conviviale et chaleureuse. La reconnaissance visuelle fait appel à la mémoire. Tout client ayant passé un bon moment de partage en famille ou entre amis dans une Taverne saura reconnaître l’apparence du restaurant et se rappeler de l’ambiance particulière des lieux.

L’esthétisme du restaurant illustre le concept recherché. À La Taverne, nous souhaitons que le client se sente à l’aise comme à la maison et soit accueilli dans une ambiance feutrée et moderne pour passer un bon moment dans un lieu à la fois convivial et authentique.

Se sentir comme à la maison

Pour que le client puisse se sentir bien comme à la maison, les établissements de La Taverne ont été conçus comme des établissements spacieux ouverts 7 jours sur 7. Les produits sont frais et choisis localement. La cuisine se veut généreuse.

Ce modèle de restauration répond aux tendances actuelles. Les clients souhaitent aujourd’hui manger des plats de qualité, 100 % cuisinés à partir de produits frais et sains. Avec la possibilité de manger à 2 dans un coin intimiste comme à 40 dans une salle privée, La Taverne offre différents cadres de convivialité qui correspond à une large clientèle selon les moments de la journée.

Le choix de notre décoration nous permet d’accueillir au sein des restaurants différents publics. Ainsi, l’esthétisme de nos établissements convient tout aussi bien pour une réunion entre collègues, que pour un déjeuner en famille, pour les touristes ou pour les couples. Si des idées pour s’inspirer et un architecte sont à la disposition de tous les restaurateurs souhaitant ouvrir une Taverne, chacun reste indépendant et conserve la liberté de s’adapter à l’image du groupement comme bon lui semble.

Une atmosphère riche en histoire

L’apparence d’un restaurant est le reflet de son caractère, de son identité, ainsi que ceux de son équipe et de ses cuisiniers. L’esthétisme de nos restaurants est riche en signification et illustre notre envie de partager un agréable moment avec notre clientèle.

Si nous rendons hommage aux tavernes d’antan dans nos restaurants, nous restons les enfants de notre époque et savons sublimer le passé en un présent moderne aussi bien au travers la décoration de nos salles que de la concoction de nos plats.

C’est en nous rappelant des banquets festifs d’autrefois, autour d’une gastronomie du terroir, que nous avons trouvé l’inspiration pour aménager et décorer La Taverne. Pour que chaque sortie en famille ou entre collègues au restaurant soit une célébration, un bon moment pour se retrouver ou s’éterniser autour d’un bon repas, nous veillons à l’élégance et aux conforts de nos établissements.

Une décoration au goût du jour

Changer de nom, c’est repenser son identité dans son ensemble. Les Relais d’Alsace se transforment ainsi avec une décoration moderne suivant les tendances de son temps en devenant La Taverne. Pour que tous les instants passés au restaurant par nos clients soient un moment de plaisir, l’agencement des lieux se travaille jusque dans les jeux de matière.

Ergonomiquement aménagé pour le personnel comme pour la clientèle, un restaurant La Taverne se veut à la fois pratique et accueillant, fonctionnel et chaleureux. Pour créer une atmosphère familiale, élégante et moderne tout en préservant authenticité et rusticité, des matériaux comme le métal et le bois sont utilisés. En termes de couleurs, le beige, le brun, le bronze et l’effet béton sont également au goût du jour à La Taverne.

Afin de proposer différentes ambiances à la clientèle, différents espaces avec du mobilier confortable et neuf ont été agencés avec différentes hauteurs d’assise notamment.

Le choix des matières

Différents éléments marquants ont également été choisis pour étonner les clients. Ils attirent l’œil sans pour autant déranger et participent à la création de l’atmosphère des lieux. Dans certains espaces, des rideaux métalliques imprimés offrent une ambiance intime et romantique. Parfois, ce sera le comptoir en madrier qui séduira, ou encore, un luminaire rivière de bouteilles.

Tout en simplicité et raffinement, les décors possibles sont nombreux et variés, sources d’inspiration pour l’ensemble des restaurants des Taverniers Réunis. Nous avons également fait évoluer le tonneau, symbole inconditionnel des tavernes d’antan, pour en retrouver les nervures sur des surfaces en contreplaqué bois.

Travaillons ensemble

Un agencement et une décoration qui a du sens, une histoire, c’est la garantie d’un espace confortable, compris par les clients. En effet, lorsque ces derniers entrent pour la première fois dans un restaurant, la décoration peut parfois déstabiliser. Elle doit faire sens avec les plats cuisinés servis et les plats à la carte.

En travaillant ensemble, les entrepreneurs indépendants de La Taverne ont pu aboutir à une véritable identité pour les restaurants du groupement.

Entrepreneuriat et environnement

La liberté d’entreprendre est une belle perspective, encore faut-il penser à l’environnement et à le respecter au mieux. C’est l’éternelle conciliation entre droit et devoir. Il est donc important de trouver le bon équilibre entre les libertés qu’offrent l’entreprenariat et les règles fixées par la charte environnement.

La liberté d’entreprendre : ça veut dire quoi ?

Revenons tout d’abord sur les principes fondamentaux de la liberté d’entreprendre. Elle fait référence à :

  • un aspect juridique qui définit le libéralisme, un élément de base pour le bon fonctionnement du capitalisme moderne ;
  • un aspect économique : l’intervention de l’État est approuvée par le concept de la liberté d’entreprendre. Cela fait notamment référence aux contrôles nécessaires concernant le respect des réglementations en vigueur.

Entreprendre tout en protégeant l’environnement : un devoir

La protection de l’environnement entrave parfois la liberté d’entreprendre. C’est notamment le cas de la décision n° 2019-823 QPC rendue par le Conseil constitutionnel le 31 janvier 2020. Dans cette déclaration, il a été prononcé que l’environnement est considéré comme patrimoine commun des êtres humains et que sa protection est un Objectif de Valeur Constitutionnelle (OCV).

Un OCV est une orientation proposée au législateur par le Conseil constitutionnel. Elle permet de mieux encadrer certains principes constitutionnels. Ainsi, selon la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, la liberté d’entreprendre est un droit ayant valeur constitutionnelle. Chacun dispose ainsi de la possibilité de créer son activité économique et de l’exercer librement.

Toutefois, lors de la décision n° 2000-433 DC prise le 27 juillet 2000, le Conseil constitutionnel a précisé ce droit. Ainsi, la liberté d’entreprendre peut être restreinte au regard d’un autre objectif à valeur constitutionnelle, mais pas de manière excessive.

La protection de l’environnement en restauration

En tant que restaurateur, il est intéressant de se demander si le législateur pourra, à termes, interdire certaines exportations en édictant une loi. En effet, le législateur doit « tenir compte des effets que les activités exercées en France peuvent porter à l’environnement à l’étranger». La logique voudrait donc qu’il est le pouvoir d’interdire des exportations ou des importations générant trop de pollution.

Cette idée est une raison supplémentaire de privilégier le local en restauration. Quelles que soient les législations présentes ou futures, il est important de proposer à la clientèle des produits de proximité et de limiter les importations longues distances plus polluantes.

Consommer local est l’une des valeurs phares de La Taverne. Manger sain, manger bio et proposer une cuisine de qualité passe aussi par un respect de l’environnement et un respect du produit, de sa production à sa préparation en cuisine.

Ce qu’il faut retenir de la décision n° 2019-823 QPC rendue par le Conseil constitutionnel le 31 janvier 2020 c’est l’action d’élever la protection de l’environnement au statut d’objectif à valeur constitutionnelle.

Cette évolution juridique va encourager les bonnes habitudes dans le monde de l’entreprenariat tout en laissant de la place à la liberté d’entreprendre, sans que cette dernière ne soit absolue.

Consommer local et cuisiner des produits de terroir

Favoriser les circuits cours, c’est ce que prône La Taverne, anciennement connue sous le nom Les Relais d’Alsace. Plusieurs restaurants du groupement ont d’ailleurs déjà obtenu une labellisation agriculture biologique qui permet de mettre en avant les efforts réalisés pour consommer local et consommer bio. L’objectif étant de proposer une nourriture plus saine et plus respectueuse de l’environnement pour la clientèle.

La liberté d’entreprendre, c’est aussi avoir la possibilité de choisir ses produits et ses points d’approvisionnement de manière plus responsable. Les Taverniers Réunis avancent dans cette démarche tout en donnant une force de négociation que tout entrepreneur seul ne peut pas forcément avoir.

En effet, les différents restaurants présents en France peuvent se fournir chez les mêmes producteurs pour certains produits et peuvent bénéficier de prix plus intéressants au vue des quantités commandées.

Les avantages d’une consommation plus respectueuse de l’environnement

Privilégier les produits locaux permet de sécuriser un modèle économique de proximité et permet de créer des emplois localement. Grâce aux distances de transport réduites, l’impact environnemental est bien moindre et il possible de ne pas avoir besoin d’utiliser des procédés de conservation.

Moins d’additifs, moins d’emballages, éviter l’utilisation des camions de congélation, etc., tous ces petits gestes permettent de limiter la consommation d’énergie au quotidien.

De plus, ces démarches ont un impact direct sur la qualité des produits. Proposer une cuisine locale et de saison à sa clientèle, c’est la garantie de leur cuisiner des produits frais, savoureux et riches en nutriments qui sauront attirer leur curiosité.

Enfin, consommer local renforce la cohésion entre les différents acteurs de la restauration et de la production.

Les limites de la consommation locale

Pour une véritable consommation responsable, se fournir localement ne suffit pas. En effet, la question est plus complexe puisque certains circuits courts ont un mauvais bilan énergétique.

Pour bien choisir, il est donc important de ne pas simplement prendre en compte le mode de distribution. Le mode de production a une place toute aussi prépondérante dans la démarche.

Il est d’autant plus important de prendre en compte le mode de production que le mode de transport est parfois si bien optimisé que la consommation d’énergie par kilo de produit alimentaire transporté peut être moindre tout en provenant de bien plus loin.

Les limites de la consommation locale ne sont pas une raison pour laisser tomber les circuits de proximité ! Au contraire, se fournir chez les agriculteurs et producteurs locaux apporte des richesses écologiques, sociales et économiques. Toutefois, il est important de rester vigilant et de se renseigner convenablement afin d’adopter une véritable démarche respectueuse de l’environnement en restauration.

Parce que la liberté d’entreprendre passe aussi par le respect de l’environnement !

Un point d’honneur sur le confort acoustique

Lorsqu’un restaurant est trop bruyant, cela déplaît à la clientèle qui cherche à passer un moment convivial et gastronomique au calme. Pour le personnel travaillant dans le restaurant, le bruit est une source d’inconfort qui fatigue et épuise. Si la qualité du repas et la fraîcheur des produits jouent normalement le rôle le plus important dans l’appréciation du moment par les clients, améliorer le confort sonore de votre restaurant, est indispensable !

Le bruit dans les restaurants : un véritable problème

Selon une enquête menée en 2016 par l’Ifop, le bruit gêne 9 % des Français à suivre confortablement leur conservation à la table d’un restaurant. Avec des amis, de la famille ou des collègues, chaque client cherche pourtant à passer un moment de convivialité avec ses proches en se rendant au restaurant.

Selon une autre enquête, menée par le site de réservation La Fourchette cette fois-ci, 20 % des Français considèrent un restaurant trop bruyant comme mauvais, même si la qualité des plats et du service est irréprochable.

Ces résultats montrent bien que le confort acoustique d’un restaurant est un atout indispensable pour attirer la clientèle et pour transmettre une image de qualité.

Les sources de bruits dans les restaurants

Dans les restaurants, le bruit peut notamment être causé par l’ambiance musicale imposée à la clientèle. Un restaurant n’est pas un bar et le son de la musique, s’il y en a, doit être mesuré afin d’éviter de gêner la clientèle et de couvrir les voix des convives.

L’utilisation de matériaux réverbérant les bruits est fortement déconseillée dans les restaurants. En effet, si les grandes baies vitrées donnent de la luminosité, que le carrelage et le béton ciré permettent de créer une certaine ambiance, qu’un plafond haut agrandit la pièce, ces agencements amplifient les sons, plutôt que de les absorber. Les conversations des tables voisines génèrent alors un brouhaha désagréable pour la clientèle et pour les serveurs.

Les entrechoquements des couverts, les déplacements de chaises, les allers et retours du personnel, les équipements de la cuisine, la climatisation sont tout autant d’éléments qui participent à la pollution sonore au sein d’un restaurant. Si les clients doivent hausser la voix pour se faire entendre, le bruit sera, une fois de plus, amplifié.

L’isolation acoustique contre les sons provenant de l’extérieur est généralement bonne dans les restaurants. Elles répondent en effet à des réglementations en vigueur. Toutefois, les constructeurs immobiliers ne pensent pas toujours aux bruits provenant de l’intérieur.

En tant que restaurateur, le confort acoustique de vos salles ne dépend que de vous.

Se démarquer de la concurrence

Faire des travaux de rénovation dans son restaurant et adapter les matériaux choisis pour les sols, les murs et le mobilier en fonction de leurs performances acoustiques constitue un atout supplémentaire pour se démarquer des restaurants concurrents. Les guides gastronomiques papiers comme les blogs et les sites internet donnant des conseils dans le choix des meilleurs restaurants où manger prennent aujourd’hui en compte le niveau de bruit dans les enseignes.

La mention « calme » contre la mention « bruyant » pourra faire la différence pour de nombreux clients. Proposer une ambiance conviviale où il est possible de discuter aussi aisément qu’à la maison, voilà ce que recherchent les consommateurs d’aujourd’hui.

Un cadre plus calme vous aidera à fidéliser votre clientèle et à améliorer les conditions de travail de votre personnel. De plus, le bruit ne pourra plus influencer négativement la perception des saveurs de vos clients. Ils retrouveront le plaisir de manger et de partager un moment convivial autour d’un repas copieux et gourmand.

Comment améliorer le confort sonore de son restaurant ?

Votre personnel et vos clients vous ont déjà fait de nombreuses remarques concernant les problèmes de bruit dans votre restaurant ? Il est temps d’y remédier.

Vous pouvez notamment commencer par faire venir un acousticien qui vous délivrera un diagnostic mesurant le niveau sonore au sein de votre établissement. Le diagnostic acoustique permet de déterminer les améliorations à apporter pour réduire les bruits dans votre établissement. Sachez qu’un restaurant est considéré comme bruyant dès 75 décibels, alors que le niveau sonore d’un restaurant calme se situera autour de 60 décibels.

La moquette absorbe très bien les bruits, il est possible d’en mettre dans certaines zones de votre restaurant. Des nappages sur les tables participent également à l’absorption des bruits. Choisissez aussi des banquettes et des sièges en tissu. Pensez à ajouter des patins en silicones sous les pieds des chaises, mais aussi des tables. Ajouter des rideaux épais pour encadrer les fenêtres et les baies vitrées participera aussi bien à la décoration intérieure qu’à l’amélioration du confort acoustique du restaurant.

Si vous souhaitez ajouter des éléments de mobilier agrandissant l’espace, il existe aujourd’hui des miroirs acoustiques qui joueront un double rôle. Côté cuisine, le niveau sonore de chaque équipement est mentionné sur sa fiche produit. Pensez à la consulter avant de faire un achat, d’autant plus si votre cuisine est ouverte sur votre salle. Nous vous conseillons alors de choisir des matériaux absorbant les sons pour votre plafond, ils réduiront efficacement la durée de réverbération des bruits dans votre restaurant.

Comment configurer sa salle ?

Pour réduire les bruits dans votre restaurant, vous pouvez aussi agir sur la configuration des lieux. Prévoir plusieurs zones avec des espaces plus intimistes et des espaces plus adaptés aux grandes tablées permettra de confiner les bruits dans certaines zones sans que le niveau sonore global du restaurant n’augmente.

En effet, plus les tables sont serrées et les clients nombreux, plus vous ferez face à un phénomène de surenchère des voix. Tout le monde essayant de se faire entendre. Pour un dîner en amoureux ou pour un repas d’affaires, vos clients sauront apprécier les espaces au calme de votre restaurant.

Vous pouvez aussi réduire la hauteur de la salle en abaissant le plafond si celui-ci est particulièrement haut. Un plafond suspendu et des matériaux absorbants seront alors la meilleure solution pour réduire les bruits dans votre restaurant.

Comment nos restaurants s’adaptent aux veggies ?

Le secteur de la restauration suit les tendances de sa clientèle pour assurer un bon moment gustatif à chacun. La Taverne ne fait pas exception. En développant une cuisine saine confectionnée à base de produits frais et locaux, nos restaurateurs s’appliquent à moderniser des plats d’antan en s’adaptant aux attentes culinaires de toutes et tous, sans oublier les veggies.

Végétarien, végétalien ou veggie ?

Outre les intolérants au gluten et consommateurs souffrant d’allergies à certains aliments, les végétariens, les végétaliens, mais également les veggies représentent aujourd’hui une belle part du marché pour les restaurateurs. Pour le bon fonctionnement d’un restaurant, il est important de ne pas oublier cette clientèle.

Si certains se contenteront de réduire leur consommation de viande ou de produits d’origine animale, certains auront la volonté d’exclure tout aliment issu de l’exploitation animale. Ce nouveau mode de consommation demande une véritable adaptation de la part des restaurateurs.

Végétarien, végétalien ou veggie, chacune de ses tendances rend le consommateur toujours plus exigeant et incite à une nourriture toujours plus saine. Afin d’accroître la notoriété de son restaurant, s’engager dans la protection animale et la protection de l’environnement sera forcément une bonne idée. Et cela permettra à votre clientèle de trouver son bonheur parmi vos plats.

Les restaurants veggie-friendly

En France, les restaurants dits veggie-friendly commencent à apparaître. L’ensemble de la carte est rarement concerné, il s’agit plutôt de proposer un menu composé de plats végétariens ou de prévoir des plats selon les différentes tendances culinaires du moment.

En devenant veggie-friendly, un restaurant gagnera en visibilité et améliorera son image auprès des restaurateurs. Au sein des Taverniers Réunis, différents restaurants disposent d’ores-et-déjà du label AB (Agriculture Biologique) pour la qualité des produits bio et locaux choisis par le restaurateur. Certains bénéficient également du titre de Maître Restaurateur, un titre qui valorise la qualité de la cuisine et du service proposés par le restaurant.

En prévoyant un menu veggie-friendly au sein de la carte, avec des aliments issus de l’agriculture biologique locale, le restaurant cherche à prendre soin de ses clients en leur proposant des aliments de grande qualité. Une démarche plus respectueuse de l’environnement et favorisant les emplois locaux.

Comment sublimer un plat veggie ?

La tendance veggie prend de l’ampleur, certes, pour autant, le cuisinier doit tout autant sublimer le plat en travaillant les aliments. Pour de nombreux consommateurs, le légume reste un simple accompagnement que le cuisinier doit savoir magnifier. Dans un plat veggie, légumes, fruits et céréales doivent se suffire à eux-mêmes, sans que le poisson ou la viande semble manquer dans l’assiette. L’équilibre du plat doit être trouvé pour proposer un menu 100 % veggie à la hauteur des autres plats proposés dans votre restaurant.

Afin de proposer des plats de saison, le menu veggie se réinvente tout au long de l’année, tout comme le reste de votre carte. Pour un menu veggie complet, n’hésitez pas à penser aux jus rafraîchissants, les veggies en raffolent.

Un plat veggie est l’occasion de mettre de la couleur dans les assiettes des clients. Trouvez l’équilibre entre le visuel et le goût pour une présentation originale et succulente.

Sensibilisez votre personnel

Ajouter un menu ou des plats veggies à sa carte et être au point pour préparer les aliments et dresser l’assiette ne suffiront pas à faire de vous un restaurant veggie-friendly. Il est important d’en discuter avec l’ensemble du personnel afin de sensibiliser les serveurs en salle à la modification de votre menu.

Végétariens, végétaliens et veggies ont besoin de se sentir rassurés sur la provenance des aliments présents dans le plat, sur leur mode de préparation et sur l’absence complète de produits qu’ils ne consomment pas dans leur assiette. Il n’est donc pas rare qu’une clientèle veggie demande des renseignements aux serveurs sur le mode de préparation ou les produits utilisés dans le plat.

Afin de permettre à votre clientèle de passer un moment convivial en famille ou entre amis tout en profitant d’un bon accueil, votre personnel en salle doit savoir répondre aux questions posées par les clients. Ceci est valable pour l’ensemble des plats présents sur votre carte.

Trouver l’équilibre côté communication

Suivre les nouvelles tendances, c’est bien, mais il est aussi important de communiquer sur le sujet pour que votre clientèle en ait conscience. Afin d’attirer une nouvelle clientèle, en plus des clients habituels, vous devez communiquer suffisamment, mais pas trop.

Communiquer uniquement sur la dimension veggie de vos plats risquerait de faire fuir les clients suivant un régime alimentaire différent et aimant consommer de la viande et du poisson notamment.

L’esprit veggie s’apparente à un véritable mode de vie. Il séduit de nombreuses personnes souhaitant respecter l’environnement et les principes écologiques tout en prenant soin de leur santé.

Des plats veggies, un véritable levier de croissance pour 2021

Le secteur de l’alimentation et de la restauration végétarienne, végétalienne et végane ne cesse d’augmenter depuis plusieurs années avec un chiffre d’affaire qui se multiplie de plus en plus chaque année. Pour se distinguer du restaurant voisin, c’est sur la qualité de ses plats et de son service que La Taverne a choisi de se positionner.

En cuisinant des plats veggies au sein de votre menu, vous attirerez une clientèle plus large qui vous aidera à augmenter la croissance et le chiffre d’affaires de votre restaurant. Avant de vous lancer dans un menu, une étude de marché pourra être réalisée afin d’avoir une idée de l’ampleur que peuvent prendre ses nouveaux plats sur votre carte et avoir une idée des quantités de produits à prévoir. Coûts et rentabilité doivent également être pris en compte pour la bonne santé du restaurant.

Circuit court pour un restaurant

La clientèle d’un restaurant recherche avant tout la transparence de son équipe dans la confection des plats et la provenance des produits cuisinés. Travaillez en circuit-court, s’approvisionner auprès de producteurs locaux, choisir des produits bio et de qualité, sont tout autant de clés pour la réussite de votre restaurant en France en 2020.

Pourquoi privilégier le circuit court en restaurant ?

Pour s’alimenter au quotidien, les particuliers sont de plus en plus vigilants sur les produits qu’ils achètent, ainsi que sur leur provenance et leur transformation. Cette vigilance s’étend aux repas à l’extérieur, c’est-à-dire en restaurant, notamment. La transparence est de mise pour rassurer et satisfaire les envies du client de déguster des produits sains et de qualité provenant du terroir local et encourageant une production de proximité.

Pour rassurer votre clientèle actuelle et l’élargir, nous vous encourageons à mettre en avant un storytelling concernant la provenance de vos produits, mais aussi la confection entièrement fait maison de tous les plats, etc. Manger des plats surgelés en restaurant fait fuir les clients.

S’approvisionner en circuit court : ça veut dire quoi ?

Le circuit court en restaurant désigne un circuit de distribution limitant au maximum le nombre d’intermédiaires entre le producteur et le consommateur. Dans le cadre du circuit court, on parle d’un seul intermédiaire dans le cas d’une vente indirecte. Il peut également y avoir vente directe entre le producteur et le consommateur.

Le circuit court est une véritable opportunité économique qui sécurise le producteur quant à la commercialisation de sa production, mais aussi le consommateur quant à la qualité des produits qu’il déguste et assure la sauvegarde des emplois sur le territoire local. Les enjeux du développement durable ravivent constamment l’intérêt de chacun pour les circuits courts : l’urgence de la révision de nos modes de production et de consommation se faisant de plus en plus ressentir.

Pour s’approvisionner en circuit court, le restaurateur peut lui-même se rendre dans une ferme voisine ou sur un marché ou se faire livrer en direct au restaurant depuis le lieu de production situé à proximité.

Tout restaurateur peut se fournir de fruits et légumes, volailles, produits laitiers, viandes, charcuterie, vin, miel, œufs, pain et farine grâce au principe de commercialisation des circuits courts.

Encourager une alimentation durable

Le circuit court restaure le lien social entre le producteur et le restaurateur, entre le restaurateur et le consommateur et entre le producteur et le consommateur. S’il est à privilégier d’un point de vue économique, c’est aussi pour ses bénéfices sur l’environnement que le circuit court doit être encouragé. Il favorise une alimentation plus durable et plus saine pour toutes et tous.

Le véritable atout du circuit court repose sur la prise de conscience du producteur, du restaurateur et du consommateur concernant le système de production, de commercialisation, d’approvisionnement et de préparation des produits.

De plus, les producteurs en circuit court privilégient davantage une agriculture biologique durable, plus saine pour l’environnement et pour les consommateurs, ce qui assure une agriculture plus raisonnée.

Communiquer autour des circuits courts, du fait-maison et du bio

Certaines de nos Tavernes ont déjà été récompensées pour leur exigence et leur savoir-faire avec le titre de Maître-Restaurateur qui reconnaît une confection de plats entièrement fait-maison à partir de produits frais et bruts. Une distinction qualitative pouvant aisément être mentionnée à l’entrée du restaurant à l’aide d’une plaque. D’autres Tavernes disposent également du label AB accordé aux restaurants se fournissant au maximum auprès de producteurs bio et locaux.

De telles mentions à l’entrée de votre restaurant rassureront votre clientèle qui aura la preuve que votre restaurant s’approvisionne localement et ne propose pas de plats surgelés ou sous vide à sa clientèle.

Cette démarche offre une véritable transparence à la clientèle qui peut se fier aux audits réalisés par le gouvernement pour s’assurer de la qualité et du sérieux du restaurant. Ce gage de qualité concerne aussi bien des problématiques liées au fait-maison, qu’à la présence d’allergènes dans certains plats ou de traces de viandes et de poissons pour les veggies.

En 2020, la clientèle cherche une cuisine authentique préparée à base de produits sains bons pour la santé, mais respectant aussi l’environnement et assurant une agriculture plus raisonnée. Une tendance qui correspond parfaitement aux valeurs partagées des Taverniers Réunis.

Pour valoriser cette transparence et assurer la confiance de vos clients, rien de mieux que de montrer votre cuisine ou de réaliser certains plats devant vos clients.

Restez ou devenez un restaurant attractif

De nos jours, le consommateur porte une grande importance sur la transparence des restaurants, souhaitant que l’ensemble du processus de confection du plat soit identifiable, de la provenance des produits, jusqu’à leur transformation en cuisine. Cette volonté de comprendre ce que l’on mange fait de plus en plus l’unanimité et le fait de manger local est une tendance correspondant aux valeurs premières des Taverniers Réunis.

En vous approvisionnant en circuit court, votre restaurant est sûr de pourvoir proposer à sa clientèle des produits frais de qualité. En toute transparence, il sera possible à chaque client de connaître l’origine des produits s’ils posent la question à vos serveurs. La fraîcheur du produit est un gage de qualité que votre clientèle saura ressentir dans chacun de vos plats.

En s’attablant dans votre Taverne, chaque client pourra profiter d’une ambiance conviviale et chaleureuse tout en se régalant avec des produits frais du terroir. Quoi de mieux pour mettre en valeur des plats d’antan pour une cuisine traditionnellement française ? S’approvisionner en circuit court ne pourra que donner plus de sens à chacun de vos plats.

C’est quoi le local en restauration ?

Une alimentation plus saine et plus respectueuse de l’environnement trouve de plus en plus rapidement son chemin dans la pensée collective et jusque dans nos assiettes, à la maison comme au restaurant. Consommer local est de plus en plus favoriser par les particuliers et le secteur de la restauration se mobilise pour suivre le mouvement. Pour répondre à de telles attentes, chefs et restaurateurs créent de nouveaux partenariats avec des producteurs locaux.

Manger local : ça veut dire quoi ?

Si le manger local est souvent confondu avec le manger bio, on peut parler de local lorsque le produit parcourt moins de 500 kilomètres entre la terre (ou la mer) et l’assiette. Les kilomètres alimentaires et non pas l’usage de pesticides, comme pour le manger bio, définissent ainsi le manger local.

Cette tendance est à l’origine de nouvelles appellations comme le « locavorisme » qui prône la réduction du gaspillage alimentaire, la consommation d’une nourriture provenant de moins loin, les achats directs auprès des producteurs locaux, la consommation de produits de saison et de produits frais.

Des produits Made in France

Alors que les circuits courts et les achats dans les commerces de proximité connaissent un nouvel élan en France face à la mondialisation et à la standardisation, les restaurants, eux aussi, revendiquent l’identité régionale de leur cuisine en favorisant des produits du terroir. Une démarche qui permet de réduire le nombre d’intermédiaires et d’agir en faveur de l’environnement et de l’économie locale. Choisir une production locale assure la qualité et la fraîcheur des aliments pour du Made in France jusque dans son assiette au restaurant.

Le local, une tendance encore différente du bio, est de plus en plus prisé grâce aux possibilités de traçabilité des origines du produit permise par une distribution régionale.

La vente en direct

Grâce à l’effervescence du circuit court, il est de plus en plus facile pour les restaurateurs de se tourner vers la vente en direct pour choisir les légumes qui seront cuisinés pour la clientèle. Pour les restaurateurs, cette démarche locale est une véritable organisation qui serait impossible sans le soutien des producteurs locaux.

Pour favoriser l’approvisionnement local des restaurants, des outils sont mis en place dans certaines régions pour aider les acheteurs à trouver des produits de qualité en quantité suffisante à proximité. Cette démarche facilite l’accès des acheteurs à des circuits de distribution locaux.

Penser global et agir local, voici le cœur de cette démarche visant à encourager une restauration collective plus respectueuse de l’environnement, mais aussi des hommes et de leur santé. Des partenariats peuvent facilement se mettre en place dès lors que les restaurateurs trouvent des produits de qualité qui leur permettent de mettre en valeur une cuisine de terroir gourmande et locale : une belle façon de communiquer sur la saisonnalité des produits issus de l’agriculture raisonnée.

Soutenir l’économie locale

En choisissant des produits dans un rayon de 500 kilomètres, la consommation alimentaire des restaurants se fait de manière intelligente et favorise les producteurs locaux. Soutenir l’économie française est indispensable au bon fonctionnement de nos régions et permet de proposer des plats de qualité aux clients, sans que les produits les composant n’aient nécessairement traversé le monde entier.

Soutenir l’économie locale, c’est aussi valoriser sa région et son patrimoine, encourager le savoir-faire agricole local.

Le bilan carbone : un sujet complexe

Consommer local et lier des partenariats avec des acteurs de proximité ne peut pas automatiquement être associé à une réduction d’émissions de gaz à effet de serre. En effet, en choisissant de favoriser les produits locaux, les restaurateurs doivent aussi se renseigner sur les moyens de transports des marchandises. En effet, la massification des produits transportés sur une grande distance peut parfois compenser le transport non adapté d’un produit unique commercialisé en vente directe.

En se regroupant, les restaurants peuvent réaliser des achats groupés favorables pour un mode d’approvisionnement plus respectueux de l’environnement. C’est le cas pour la chaîne de restaurants La Taverne, dont plus d’une trentaine sont déjà répartis dans toute la France.

L’engagement des Taverniers Réunis

Le collectif des Taverniers Réunis met volontiers en avant le terroir Français pour apporter des saveurs gourmandes à sa gastronomie traditionnelle. Le collectif aide chaque entrepreneur gérant son propre restaurant La Taverne à s’engager dans cette dynamique valorisant la cuisine de ses chefs. Des outils de gestion sont à disposition des taverniers pour accompagner les restaurateurs et les sensibiliser à une consommation locale et vous pourrez ainsi trouver des produits de saison issus de la région au menu.

Chaque restaurant La Taverne s’engage dans le développement durable et cherche à maîtriser ses approvisionnements en légumes, produits de la mer, viandes et autres en modernisant des recettes traditionnelles du terroir. Dans la filière poisson, un fournisseur certifié ISO 9001 et QSM (Qualité Service Mer) garantit, par exemple, au restaurateur que les espèces en voie de raréfaction ne sont pas pêchées, tout comme les poissons dont la taille biologique ne répond pas aux réglementations en vigueur. La Taverne peut ainsi proposer à sa clientèle des poissons et fruits de mer dont la chaîne d’approvisionnement est respectueuse de l’environnement.

Acheminés en circuit court, nos produits sont frais et vous pourrez pleinement profiter de leur saveur en vous attablant à l’une de nos tables de caractère pour un moment convivial en famille, entre amis ou entre collègues. Les Taverniers Réunis mettent en valeur les spécialités de leur région et cherchent en permanence à réduire le nombre d’intermédiaires entre les producteurs et votre assiette. Nous cherchons à retourner à l’essentiel en présentant des plats simples, mais gourmands qui éveillent les papilles tout en rappelant des plats d’antan.

C’est quoi être Maître Restaurateur ? Quelles Tavernes sont concernées ?

Certains restaurants sont récompensés du titre de Maître Restaurateur, mais savez-vous vraiment ce que cela signifie ? Plusieurs Tavernes ont acquis ce titre d’État spécifique au secteur de la restauration ces dernières années. Nous vous dévoilons lesquelles dans cet article et comment les rejoindre.

Une cuisine entièrement faite maison

Sujet au cœur de l’actualité et des envies de la clientèle d’aujourd’hui, le fait maison est largement recherché en France dans les restaurants. Les clients souhaitent savourer de bons petits plats cuisinés et apprécient très peu de se retrouver face à un poisson tout droit sorti du congélateur et cela se comprend.

Chez Les Taverniers Réunis, nous sommes partisans d’une cuisine simple et gourmande, rappelant les saveurs d’antan, tout en étant modernisée par le savoir-faire de nos cuisiniers. C’est ainsi que nombre de nos Tavernes disposent aujourd’hui du titre de Maître Restaurateur récompensant et attestant que les plats proposés à la carte sont entièrement faits maison à partir de produits frais et bruts.

Ce titre apporte à La Taverne une véritable transparence face au client concernant la qualité de notre cuisine : un respect du consommateur que nous valorisons.

L’histoire du titre Maître Restaurateur

En distribuant le titre de Maître Restaurateur, le gouvernement affirme la légitimité d’une cuisine faite-maison chez un certain nombre de restaurants en France et récompense le professionnalisme d’un chef, conjugué à celui de son établissement. La création de ce titre et l’élaboration de son cahier des charges datent de 2007, à l’occasion du contrat de croissance conclu entre les organisations professionnelles de restaurateurs et le Gouvernement.

Depuis le 17 mars 2014, le titre de Maître Restaurateur est inscrit dans la loi Consommation afin d’aider les consommateurs à identifier en toute transparence les menus composés de plats cuisinés fait-maison, c’est-à-dire sur place par le restaurateur. Seul titre officiel de la restauration traditionnelle indépendante, le titre de Maître Restaurateur garantit la traçabilité des produits et le respect de leur saisonnalité.

Authenticité et qualité, ainsi qu’une carte entièrement composée d’une cuisine faite maison à partir de produits bruts et de produits frais sont indispensables pour être reconnu Maître Restaurateur par l’État. Seulement 3300 restaurateurs de la métropole française et dans les départements d’Outre-mer disposent actuellement de ce titre. De l’auberge à la table gastronomique, le titre récompense une cuisine authentique et référence ainsi des établissements d’excellence.

Comment devient-on Maître Restaurateur ?

Devenir Maître Restaurateur est une démarche entièrement volontaire. La demande du titre s’effectue par le restaurant lui-même et l’évaluation prend aussi bien en compte la cuisine, que le service et la salle. Valable pour une durée de 4 ans renouvelables, le titre de Maître Restaurateur sécurise le consommateur concernant la nature de la prestation d’un restaurateur de métier.

Tout restaurateur indépendant peut bénéficier de ce titre d’excellence dès lors qu’il répond parfaitement aux engagements exigés. Pour en faire la demande, il est nécessaire :

  • De travailler au sein d’un restaurant traditionnel comme La Taverne, soit en tant que propriétaire, soit en tant que dirigeant ou salarié.
  • De détenir une longue expérience de direction au sein de l’établissement de restauration ou de disposer d’un diplôme professionnel équivalent.
  • De respecter le cahier des charges en termes de qualité des produits bruts utilisés, de fraîcheurs des produits, etc.

Du restaurant étoilé à l’auberge, du petit bistrot de campagne à un établissement gastronomique, tous les restaurateurs indépendants peuvent postuler pour faire l’objet d’un audit qui leur permettra potentiellement d’obtenir le titre de Maître Restaurateur.

Un organisme certificateur indépendant se charge ensuite de réaliser l’audit afin d’établir si le restaurant répond bel et bien au cahier des charges. Si tel est le cas, le préfet du département délivre le titre de Maître Restaurateur à l’établissement, au nom de l’État.

Les engagements d’un Maître Restaurateur

Pour obtenir le titre de Maître Restaurateur, l’établissement doit faire preuve d’un véritable engagement quant au choix des produits qu’il cuisine. Mais cela ne suffit pas. Des compétences professionnelles reconnues dans le secteur de la restauration sont également nécessaires.

Ainsi, le chef du restaurant s’engage à :

  • Préparer uniquement des plats faits maison à partir de produits bruts, majoritairement frais ;
  • Utiliser des produits de saison et des produits du terroir ;
  • Forger des partenariats avec des producteurs locaux ;
  • Offrir un service de qualité à la clientèle ;
  • S’assurer du confort de l’établissement pour le consommateur en prévoyant notamment des vestiaires sécurisés, une décoration soignée, etc.
  • Respecter de manière rigoureuse les règles d’hygiène et de sécurité propres aux restaurants.

Les Tavernes récompensées par le titre de Maître Restaurateur

Les Taverniers Réunis regroupent des restaurateurs prônant une cuisine authentique et gourmande. Tous nos établissements en France partagent des valeurs communes et cherchent à régaler le client avec nos traditions culinaires.

À La Taverne, nous sublimons les saveurs du passé en les adaptant aux attentes du présent. Nous invitons les clients à partager en couple, en famille, entre collègues ou avec leurs clients, des moments généreux autour d’une cuisine authentique et gourmande.

En se positionnant comme héritière du bien manger, du bon vivre et du savoir accueillir, La Taverne souhaite mettre en avant une cuisine de caractère qui soit simple, mais généreuse, tout en venant sublimer des produits du terroir local.

En 2020, 33 Tavernes sillonnent le territoire français et 7 ont déjà obtenu le titre de Maître Restaurateur après en avoir fait la demande et avoir passé un audit positif. Grâce aux Maîtres Restaurateurs, nos meilleurs restaurants sont mis en avant, partout en France. Sont Maîtres Restaurateurs :

  • La Taverne de Beaucouzé (Angers) ;
  • La Taverne de Caen ;
  • La Taverne de Saint-Brieuc ;
  • La Taverne de Vitré ;
  • La Taverne de Rezé (Nantes Sud) ;
  • La Taverne de Ruaudin (Le Mans Sud) ;
  • La Taverne de Saint-Grégoire.

Les Tavernes souhaitant garantir la qualité de leurs produits et de leur cuisine vis-à-vis de leur clientèle peuvent dès maintenant faire une demande d’obtention du label Maître Restaurateur afin qu’un audit sur l’excellence du restaurant soit réalisé.

Comment assurer son restaurant ?

S’assurer dès l’ouverture de son restaurant, c’est comme souscrire à un contrat d’assurance dès la signature d’une maison ou lors d’un contrat de location. Créer son restaurant, c’est lancer son entreprise, et mieux vaut ne pas passer outre les démarches administratives et légales pour éviter les mauvaises surprises.

Voici notre guide pour vous aider à assurer votre restaurant.

Quelles assurances sont obligatoires pour un restaurant ?

Pour ouvrir un restaurant, plusieurs assurances sont obligatoires, d’autres sont facultatives mais peuvent se révéler utiles concernant votre statut de restaurateur et de chef d’entreprise.

Les assurances obligatoires dans un restaurant sont les suivantes :

  • l’assurance en responsabilité civile pour les professionnels ;
  • l’assurance de mutuelle collective pour les salariés ;
  • l’assurance auto des véhicules professionnels si votre restaurant en a.

Voici une liste non exhaustive des assurances facultatives auxquelles vous pouvez également souscrire :

  • l’assurance pour les locaux professionnels ;
  • l’assurance perte d’exploitation.

Faisons le point sur ces différentes assurances pour ouvrir un restaurant.

L’assurance responsabilité civile pour les professionnels

Si la loi n’impose pas au restaurateur de s’assurer contre les dommages qu’il pourrait subir, il est toutefois obligatoire de s’assurer pour les dommages que vous pourriez causer à autrui au sein de votre restaurant. Cette assurance en responsabilité civile pour les professionnels permet d’assurer la sécurité de vos clients au sein de votre établissement.

L’assurance en responsabilité civile professionnelle se distingue de l’assurance en responsabilité civile personnelle. Il est indispensable de souscrire à cette assurance pour l’ouverture de votre restaurant pour que vous soyez couvert contre :

  • les dommages liés à votre activité ;
  • les dommages dont vous seriez responsable ;
  • les dommages dont l’un de vos salariés serait responsable ;
  • les dommages tels que les intoxications alimentaires ;
  • les dommages causés par l’un de vos équipements ou matériels.

L’assurance responsabilité civile professionnelle vous couvre aussi bien lorsqu’un client ou un salarié tombe à cause d’un sol glissant que si vous ébouillantez un consommateur en renversant son café ou autre.

Les compagnies d’assurance proposent généralement des solutions sur-mesure concernant les dommages liés aux produits alimentaires.

La mutuelle collective pour les salariés

Parmi les assurances obligatoires auxquelles doivent aujourd’hui souscrire les restaurateurs employant des salariés, on retrouve, depuis le 1er janvier 2016, la mutuelle collective pour les salariés. Toutes les entreprises de plus et de moins de 50 salariés doivent respecter cette nouvelle législation depuis cette date.

Si vous avez du personnel au sein de votre restaurant, la mutuelle collective n’est pas une option. Si vous n’y souscrivez pas, vous serez en infraction.

Faut-il assurer votre restaurant et ses équipements ?

Équiper un restaurant coûte cher, qu’il s’agisse de la salle ou de la cuisine. Pour protéger les différentes pièces de votre local (salle pour la clientèle, cuisine, espaces de stockage des produits alimentaires, etc.), vous pouvez vous couvrir contre des dommages en souscrivant à une assurance pour vos locaux professionnels. Cette assurance reste facultative.

Vous serez alors notamment couvert contre :

  • les incendies ;
  • les intempéries et autres catastrophes naturelles (tempête, neige, grêle, inondation, etc.) ;
  • les actes de vandalisme ;
  • les émeutes ;
  •  

Pour un restaurant, il peut être intéressant d’ajouter des garanties supplémentaires concernant la détérioration ou le vol des marchandises, par exemple. Vous serez ainsi couvert pour les pertes de vos aliments lorsque votre congélateur tombe en panne.

Assurer un véhicule professionnel

Que vous disposiez d’un ou de plusieurs véhicules professionnels pour votre restaurant, pour effectuer des livraisons ou vous rendre chez des producteurs locaux pour vous fournir, une assurance auto sera obligatoire.

Sur le même principe que l’assurance responsabilité civile professionnelle, vous devez vous assurer au tiers et ainsi être couvert contre les dommages dont vous seriez responsable.

Il existe différentes options complémentaires facultatives que nous vous conseillons :

  • une assurance pour les dommages causés par un tiers ;
  • une assurance contre le vol de vos marchandises à l’intérieur de votre véhicule ;
  • une assurance conducteur vous couvrant ainsi que vos salariés si vous vous blessez lors d’un accident pour lequel vous êtes responsable ;
  • une assurance dépannage en moins d’une heure, 24h/24 et 7j/7.

L’assurance perte d’exploitation : une option ?

Facultative mais pouvant se révéler bien pratique, l’assurance perte d’exploitation couvre le restaurateur en cas de sinistre impactant son activité. Suite à une inondation, un incendie ou du vandalisme, vous pouvez être obligé de fermer votre restaurant pendant une certaine période, qui entraînera forcément une baisse dans votre chiffre d’affaires.

L’assurance perte d’exploitation couvre la baisse de votre niveau d’activité et évite que votre restaurant vous coûte trop d’argent pendant sa période de fermeture.

Pourquoi souscrire à une assurance multirisque ?

S’il est possible de souscrire à ces différentes assurances auprès de différentes compagnies, une assurance multirisque peut être une solution à envisager. En effet, elle permet d’effectuer un seul contrat auprès d’un seul assureur, ce qui vous permet de négocier une couverture globale à un prix plus intéressant.

Sont comprises dans une assurance multirisque professionnelle pour restaurant :

  • l’assurance de responsabilité civile professionnelle ;
  • et l’assurance de votre restaurant et de ses équipements.

Un contrat multirisque vous permet également d’ajouter les options suivantes :

  • l’assurance perte d’exploitation ;
  • l’assurance assistance juridique en cas de poursuites par un fournisseur ou un client ;
  • la garantie sommelier ;
  • la garantie destruction et décontamination (pratique en cas d’exposition à un problème de salmonelle notamment).

 

La surface de votre établissement, le chiffre d’affaires de votre restaurant, ainsi que le nombre de salariés que vous employez aura un impact sur le coût de l’assurance de votre restaurant, que vous choisissiez l’assurance multirisque ou de souscrire à différentes assurances. Lorsque vous comparez les devis, soyez vigilant sur le montant de la franchise en cas de sinistre.

Pourquoi les coopératives s’en sortent mieux ?

Travailler ensemble et coopérer engagent différents membres d’un même réseau vers une organisation de groupe, sans compétition inhérente aux tendances capitalistes. Mouvement moderne, la coopération devient la force des entrepreneurs qui engage les esprits à concevoir un mode de fonctionnement différent et bienveillant où la richesse du réseau se caractérise par le savoir-faire, l’expérience et la singularité de chacun.

Les coopératives en 2020 : un succès

Le nombre des coopératives a doublé depuis le début des années 2000. Résolument moderne, ce nouveau modèle d’organisation plaît aux entrepreneurs qui peuvent garder leur indépendance et la liberté d’entreprendre tout en appartenant à un regroupement de personnes. Ces membres d’une coopérative partagent des valeurs et un savoir-faire et chaque individu peut bénéficier de la force du réseau tout en conservant sa liberté.

C’est d’ailleurs l’un des grands enseignements transmis par la crise financière et économique ayant secoué la France et une grande partie du monde en 2008-2009 : les coopératives ont mieux résisté et ont réussi à stabiliser leurs effectifs et résultats financiers pendant et après la crise.

Pourquoi ? Parce qu’une partie de l’économie se retrouve aujourd’hui entre les mains d’actionnaires détenant un capital. Ce capital offre du poids à leurs décisions, sans qu’ils soient forcément investis directement dans l’entreprise. Leur principal objectif consiste à accumuler des richesses, ce qui a pour inconvénient de créer de fortes inégalités, beaucoup moins présentes chez les coopératives.

Ce mode de fonctionnement n’a pas été adopté par les coopératives où les propriétaires et décideurs sont les entrepreneurs eux-mêmes. Les entrepreneurs prennent alors des décisions basées sur leur expérience terrain, leurs observations et leurs besoins réels au quotidien.

L’économie coopérative est un terrain fertile pour une meilleure répartition des richesses et pour limiter des prises de décision motivées par la maximisation du profit plutôt que de l’intérêt pour les travailleurs de la coopérative et de ses clients. La solidarité est l’une des valeurs essentielles au bon fonctionnement d’une coopérative.

Un fonctionnement démocratique

Véritables alternatives au fonctionnement capitaliste, les coopératives trouvent leur place dans de nombreux secteurs de l’économie : aussi bien dans la restauration que dans le secteur de la santé et de la construction ou encore du secteur agricole. Banques et assurances choisissent également de plus en plus de fonctionner sur un système coopératif.

La diversification des secteurs de l’économie reflète l’attrait de ce système de fonctionnement avec des tailles de coopératives très variées et partageant pourtant un point commun. Chaque coopérative regroupe des personnes identifiant des besoins communs via une entreprise dont elles sont toutes propriétaires de manière égale.

Dans une coopérative, l’objectif commun ne se limite pas à la seule recherche de profit. Chaque propriétaire s’implique personnellement dans la société et identifie les améliorations à envisager ou les besoins en fonction de ce qu’il observe directement sur le terrain.

La coopérative permet à différents entrepreneurs de partager un même nom d’enseigne dans différentes villes en France et de bénéficier de l’image de cette marque qui permet d’attirer une clientèle la connaissant déjà.

Des exigences et un degré de rigueur partagés sont indispensables pour le bon fonctionnement de la coopérative. Ces atouts permettent de développer une identité commune assurant à chacun de bénéficier de la notoriété des membres du réseau.

Les nouveaux enjeux de la coopération

Des valeurs humaines sont véhiculées au sein des coopératives, ce qui alimente la qualité de travail des entrepreneurs. Les coopératives ont également le mérite de questionner en permanence le système dans lequel elles évoluent et l’intérêt général prédomine. Coopérer se construit et s’apprend.

Nous vivons à une époque où l’individualisme prend une part importante de notre société et tous les entrepreneurs ne trouveront pas forcément leur place dans une coopérative. Contrairement aux entrepreneurs épris d’indépendance, ceux épris d’individualisme préféreront faire cavalier seul.

Formation, accompagnement d’un nouvel entrepreneur lors de son installation, mutualisation des moyens financiers sont tout autant de soutiens auxquels peuvent s’attendre les membres d’un réseau indépendant constitué d’entrepreneurs propriétaires.

Le bien-être des salariés

Si la coopérative est un format en expansion depuis plus d’une dizaine d’années, c’est notamment dû à la souffrance des salariés au travail dans les formats dits « classiques ». L’action managériale d’une coopérative favorise le bien-être des salariés au travail et aboutit à une meilleure performance de chacun au travers de son épanouissement personnel, sans être aveuglé par le profit avant tout.

Dans une coopérative, le profit est calculé différemment et l’humain est remis au cœur du développement économique et social. Plutôt que de fragiliser l’entreprise de par son mal-être au travail, le salarié devient alors vecteur des valeurs de l’entreprise. Si le salarié se sent bien à son poste, les clients le ressentiront et passeront un meilleur moment.

Les Taverniers Réunis : un commerce associé

Pour La Taverne, réunissant une trentaine de restaurants en France en 2020, le format du commerce associé a été choisi pour développer un réseau de maîtres restaurateurs solidaires et indépendants. Ce choix permet aux taverniers exploitants de développer leur activité au sein d’une enseigne ayant fait ses preuves et de bénéficier d’un esprit de coopération qui permet d’apporter régulièrement de nouvelles idées.

Le collectif des Taverniers Réunis fait notre force et permet à chaque entrepreneur de bénéficier des avantages du collectif tout en prenant part à chacune des décisions et en gardant sa liberté.

Pour les Taverniers Réunis, ce modèle coopératif et associé est un véritable avantage concurrentiel. Un réseau cohérent et une rigueur accrue sont les clés de la réussite pour conserver une place de choix au cœur d’un marché en constante évolution comme la restauration.

Les Taverniers Réunis sont persuadés que chaque employé doit se sentir bien dans son travail pour que les clients se sentent « comme » à la maison lorsqu’ils franchissent les portes d’une taverne pour déguster des plats cuisinés à partir de produits frais et locaux dans une ambiance feutrée et chaleureuse.

Les premières images de la Taverne Saint-Grégoire. Concept révélé

Le Groupement des Taverniers Réunis déploie un nouveau concept sur l’ensemble de ses restaurants en 2020. Pour symboliser ce renouveau, Relais d’Alsace, Taverne Karlsbräu et Comptoir Licorne seront des restaurants que vous retrouverez tous désormais sous le nom de La Taverne. La première inauguration de l’un de ces établissements est prévue au mois d’août avec La Taverne de Saint-Grégoire en Ille-et-Vilaine (35).

Le concept de La Taverne

Le Groupement des Taverniers Réunis, créés en 2008, est un commerce associé qui permet aux entrepreneurs des 33 restaurants Les Relais d’Alsace, Taverne Karlsbräu et Comptoir Licorne de bénéficier de la force d’un réseau tout en gardant leur liberté au sein de leur propre restaurant.

Selon l’évolution de la crise du COVID-19, l’ensemble des restaurants devraient s’approprier le nouveau concept de La Taverne d’ici fin 2020. À ce jour, La Taverne est le seul réseau de restaurants fonctionnant sur un tel modèle coopératif dont les associés sont tous des entrepreneurs propriétaires de leur propre restaurant.

Chacun peut ainsi garder sa liberté d’entrepreneurs tout en bénéficiant de la force d’un réseau d’associés partageant une même image : le cœur de réflexion de ce nouveau concept qui devait être présenté au salon Franchise Expo Paris en avril, décalé par le confinement au mois d’octobre.

Un nouveau concept pour la Taverne St Grégoire

En 2019, 3 nouveaux établissements ont rejoint le groupement des Taverniers Réunis, 5 sont prévus en 2020 et jusqu’à 10 sont déjà envisagés pour 2021. Les nouvelles implantations de restaurants sont principalement prévues dans des zones composées de 50 000 habitants, ce qui permet d’ouvrir des établissements de 400 à 500 m² en moyenne.

L’inauguration de la toute première Taverne en France est prévue pour le mois d’août. Selon l’évolution de la crise du COVID-19, cette date peut être amenée à évoluer. Avec cette première réouverture, La Taverne dévoile son nouveau concept à base de décoration feutrée et d’une cuisine moderne et généreuse.

L’objectif de la Taverne de Saint-Grégoire et de tous les autres restaurants du groupement : que les clients se sentent comme à la maison et passent un excellent moment. Pour les plats, des produits frais et locaux seront précieusement sélectionnés par les chefs de chaque restaurant. Le collectif permet, là encore, de bénéficier de meilleurs arguments de négociation.

Le restaurant de Saint-Grégoire

Le 1er mars 2013, le restaurant obtenait le titre de Maître Restaurateur et c’est avec fierté que l’équipe vous propose désormais ses copieux plateaux de fruits de mer, ses viandes, ses poissons, ses salades et ses célèbres choucroutes qui ont su faire la réputation du restaurant au fil des années. C’est un réel bonheur de voir naître La Taverne au travers de ce premier restaurant.

La Taverne de Saint-Grégoire vous accueille en salle ou en terrasse. Vous pouvez leur confier l’organisation de nombreux événements. Il est même possible de privatiser les lieux le temps d’une journée ou d’une soirée et tous les plats sont également disponibles à la vente à emporter.

Tous les convives sont les bienvenus chez les taverniers et nous disposons d’un accès pratique pour les personnes à mobilité réduite et les femmes enceintes, notamment avec un ascenseur pour notre salle à l’étage. Installez-vous dans une taverne d’antan modernisée et remise au goût du jour et profitez d’un accès Wifi gratuit pour rester connecté et organiser vos réunions de travail sans soucis.

Avec le parking privatif prévu pour les clients, vous n’aurez pas à vous faire du souci pour garer votre voiture.

En famille ou entre amis à La Taverne

Du lundi au dimanche, La Taverne de Saint-Grégoire, anciennement appelée Le Relais d’Alsace Taverne Karlsbräu de Saint-Grégoire, vous ouvre ses portes à deux minutes de Rennes, sur la route de Saint-Malo.

Venez-vous attabler dans une ambiance chaleureuse avec vos amis et votre famille en choisissant un espace intime ou une table ronde parmi les 270 places que compte le restaurant.

Événements et grandes occasions

Votre brasserie de Saint-Grégoire vous accueille pour vos repas de groupe et cocktails entre amis, en famille ou bien entre professionnels. Que ce soit pour une communion, un anniversaire, un mariage ou un repas d’affaires, un menu personnalisé vous sera proposé pour votre repas de groupe.

Pour un départ à la retraite ou pour l’inauguration d’un nouveau projet, une soirée cocktail dans une taverne traditionnelle pourra également vous plaire. Si vous avez besoin d’un espace pouvant accueillir davantage de personnes, sachez que la Taverne de Saint-Grégoire bénéficie d’une salle de plus de 300 m² à l’étage, modulable selon vos envies. L’un de nos taverniers vous accompagne pour organiser cet événement selon vos besoins et votre budget.

Pour les événements et grandes occasions, des menus personnalisés selon vos goûts pourront être prévus par le chef cuisinier et le chef pâtissier de La Taverne de Saint-Grégoire avec lesquels vous pourrez directement échanger.

Séminaire, journée d’étude ou réunion de travail

Pour vos événements professionnels, La Taverne de Saint-Grégoire vous propose la location d’une salle entièrement équipée avec un vidéoprojecteur, un grand écran, etc. Vous pourrez accéder à cette salle présente à l’étage grâce à un ascenseur et profiter du Wifi.

Un forfait journalier vous permet de bénéficier du repas du midi et de 3 pauses avec collation tout au long de la journée.

Rendez-vous le jour de l’inauguration !

Après deux mois de fermeture pendant le confinement, le restaurant a pu rouvrir ses portes au public début mai. À partir du mois d’août, toute l’équipe vous accueillera sous son nouveau nom : La Taverne. Dans des conditions sanitaires irréprochables et un décor revisité, les taverniers de Saint-Grégoire vous attendent de ce pas pour faire de votre repas un moment privilégié à partager en famille, entre amis ou entre collègues.

Profitez de l’été pour passer du temps avec vos proches en vous rendant dans la Taverne de Saint-Grégoire où vous vous sentirez comme à la maison dès le seuil de la porte franchi. En salle comme en terrasse, préparez-vous à passer un bon moment dans une taverne moderne et chaleureuse.

Bon appétit !